L’association

« Parler pour tout dire »

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Présentation rapide

L’association Ciné-Rencontres est une association loi 1901.
Elle permet au Ciné Lumière de Vierzon de bénéficier d’un label « Art et essai » de qualité.

C’est du moins l’aspect institutionnel.

Dans la pratique, c’est aussi une aventure, largement fondée sur l’amitié, et naturellement aussi sur l’intérêt envers le cinéma et la prise de parole dans un espace de liberté démocratique.

Quelques précisions

L’aspect ciné-club ne doit pas masquer la liberté qui reste la règle de base. On peut ainsi voir des films qui n’auraient aucune chance de figurer dans un circuit commercial de grande distribution (films étrangers en VOST, films à petits budgets, films d’auteurs de type Art et Essai,…)

Mais aucune exclusive ne frappe le choix des films. Aucun n’est exclu a priori. Ni le film commercial, ni le « blockbuster », ni même le mauvais film : une réflexion cinéphilique pertinente peut évidemment avoir lieu sur un film médiocre de série B, voire, et pourquoi pas, sur un véritable navet. Il n’existe pas davantage d’exclusive sur les débats. Aucune obligation, et symétriquement d’ailleurs aucun empêchement, en ce qui concerne le droit de s’intéresser au matériau filmique proprement dit. Aucune fatalité, et symétriquement là encore aucun empêchement, de s’intéresser particulièrement au thème central du film (si tant est que cette notion ait un sens), ou à un sujet marginal suggéré par le film.

Pratiquement, tout se passe comme si la règle implicite était la suivante : la priorité, tant pour la direction des interventions que pour la prise de parole, est donnée à la salle. Et aussi aux invités, quand nous avons la chance d’en avoir.

Les Rencontres

Elles sont multiples. La spécificité de nos actions en ce sens, c’est son aspect le plus visible, mais pas le plus fréquent par la force des choses : recevoir un invité qui entretient avec le film un rapport privilégié (réalisateur, producteur, acteur, ou témoin de l’histoire, comme Robert Hébras, survivant d’Oradour, …). Mais les rencontres se font couramment à des niveaux variés : rencontre du public avec un film, et possibilité aussitôt d’en rendre compte, ou de chercher des réponses, en s’appuyant sur une réflexion collective. Rencontre donc avec les animateurs, mais aussi et surtout rencontre des personnes du public entre elles.

L’association est née d’ailleurs de rencontres. Au début des années 2000, quand après 20 ans de frustration Vierzon passait tout à coup d’une absence totale de cinéma à un cinéma en pointe sur le plan de la qualité, le lycée Edouard Vaillant, qui créait son option cinéma où j’étais professeur, et Francis Fourneau, qui gère le cinéma, se sont trouvés en convergence de passion et d’intérêt. Des présidents actifs font le reste : vous connaissez John. Pas tout à fait, car des rapports cordiaux et de confiance avec l’ensemble du personnel du cinéma sont évidemment nécessaires au bon fonctionnement de l’association. Les citer ressemble à un titre de Claude Sautet : Jacques, Olivier, Jean, Nicolas, et les autres (la sécurité, l’accueil), qui nous facilitent la tâche avec beaucoup de gentillesse et qui méritent d’être constamment remerciés.

Indépendance

C’est une autre notion capitale, avec la liberté. Pendant longtemps, ce souci nous a même poussés à ne pas solliciter la moindre subvention municipale. Nous avons changé d’avis récemment, et nous n’avons pas lieu de le regretter. Au fond, la meilleure garantie est encore de fonctionner tout simplement avec des personnes insoupçonnables. Paradoxalement, notre indépendance s’en est même plutôt trouvée renforcée. L’essentiel de nos frais, à savoir le défraiement des repas et de l’hôtel pour les invités lointains, est ainsi couvert, ce qui signifie que de ce côté-là nous n’avons plus de souci pour le devenir de l’association, et cela même si le complément dû aux adhésions est assez modeste. Il n’était pas certain au départ qu’elle puisse se pérenniser. Force est bien de constater qu’elle va bientôt fêter ses dix ans d’existence : un bel exemple de provisoire qui dure.

Les domaines d'intervention et la programmation

Là encore la variété est la norme.
Rappelons d’abord la règle générale, car si l’association est visible et assez bien connue dans son rôle d’animation, elle l’est sans doute beaucoup moins dans le domaine plus souterrain de la programmation. En fait, elle y joue un rôle d’interface entre les usagers qui ont des demandes à formuler et Francis, qui est le seul à même de savoir si la concrétisation du projet est d’abord possible, et ensuite de le mener à bien.

Les usagers sont également divers. Les demandes peuvent émaner de particuliers, adhérents ou non, de collectivités (établissements scolaires, entreprises, associations culturelles ou sportives, métiers, festivals cinématographiques voisins, …). Un entrepreneur ou un comité d’entreprise peut par exemple créer un événement interne à son entreprise en achetant des places à tout ou partie de son personnel lors d’un film qui lui convient, nos animations et présentations étant bien entendu toujours gratuites.

Personne ne s’étonnera enfin d’apprendre que nous avons un partenariat étroit avec l’Université populaire de Vierzon. De ce point de vue, l’association est donc une interface multitâches. En témoignent par exemple nos réalisations passées, ou nos projets en cours (ou peut-être abandonnés, quand on n’a plus de nouvelles depuis un certain temps) :
– le festival départemental du film colombien (en présence du consul colombien, ce fut presque un événement international !)
– le festival du making of, étudié au niveau municipal
– le festival du film sur le travail
– la fonction de caisse d’amplification d’événements populaires à Vierzon (Les Bodins,…)
– Le Conseil municipal des enfants
– Les opérations Collégiens et Lycéens au cinéma, les films de l’option cinéma du lycée Edouard Vaillant projetés avant présentation aux examens,…
– le partenariat avec l’Agence régionale du Centre pour le livre, l’image et la culture numérique (Ciclic).

De notre point de vue, l’ordre des priorités serait plutôt le suivant :
1) la présence dans la salle ;
2) la participation au débat ;
3) fournir un contact pour la circulation de l’info (mail) ;
4) prendre une adhésion de soutien ;
5) éventuellement apporter sa contribution par mail après le débat ;
6) être présent et apporter une petite aide ponctuelle à l’occasion (essentiellement passer à notre stand lors de la fête annuelle des associations).

Bien entendu, si on peut satisfaire à plusieurs de ces critères, voire à tous à la fois, on est dans une situation idéale. L’ensemble constitue un soutien de fait qui permet de durer et qui encourage à s’investir. L’association n’a en effet de raison d’être que si elle correspond à un besoin. D’un point de vue extérieur, et c’est bien légitime, sa crédibilité se mesure largement au nombre de ses adhérents.

Assemblée générale

C’est l’occasion d’une rencontre privilégiée avec les adhérents, lesquels peuvent faire directement les remarques et suggestions qu’ils jugent utiles sur le devenir et l’évolution de l’association. C’est l’occasion de constituer le nouveau bureau. Généralement, une projection privée est offerte aux adhérents à la suite de la réunion.

Indépendance

C’est une autre notion capitale, avec la liberté. Pendant longtemps, ce souci nous a même poussés à ne pas solliciter la moindre subvention municipale. Nous avons changé d’avis récemment, et nous n’avons pas lieu de le regretter. Au fond, la meilleure garantie est encore de fonctionner tout simplement avec des personnes insoupçonnables. Paradoxalement, notre indépendance s’en est même plutôt trouvée renforcée. L’essentiel de nos frais, à savoir le défraiement des repas et de l’hôtel pour les invités lointains, est ainsi couvert, ce qui signifie que de ce côté-là nous n’avons plus de souci pour le devenir de l’association, et cela même si le complément dû aux adhésions est assez modeste. Il n’était pas certain au départ qu’elle puisse se pérenniser. Force est bien de constater qu’elle va bientôt fêter ses dix ans d’existence : un bel exemple de provisoire qui dure.

Les domaines d'intervention et la programmation

Là encore la variété est la norme.
Rappelons d’abord la règle générale, car si l’association est visible et assez bien connue dans son rôle d’animation, elle l’est sans doute beaucoup moins dans le domaine plus souterrain de la programmation. En fait, elle y joue un rôle d’interface entre les usagers qui ont des demandes à formuler et Francis, qui est le seul à même de savoir si la concrétisation du projet est d’abord possible, et ensuite de le mener à bien.

Les usagers sont également divers. Les demandes peuvent émaner de particuliers, adhérents ou non, de collectivités (établissements scolaires, entreprises, associations culturelles ou sportives, métiers, festivals cinématographiques voisins, …). Un entrepreneur ou un comité d’entreprise peut par exemple créer un événement interne à son entreprise en achetant des places à tout ou partie de son personnel lors d’un film qui lui convient, nos animations et présentations étant bien entendu toujours gratuites.

Personne ne s’étonnera enfin d’apprendre que nous avons un partenariat étroit avec l’Université populaire de Vierzon. De ce point de vue, l’association est donc une interface multitâches. En témoignent par exemple nos réalisations passées, ou nos projets en cours (ou peut-être abandonnés, quand on n’a plus de nouvelles depuis un certain temps) :
– le festival départemental du film colombien (en présence du consul colombien, ce fut presque un événement international !)
– le festival du making of, étudié au niveau municipal
– le festival du film sur le travail
– la fonction de caisse d’amplification d’événements populaires à Vierzon (Les Bodins,…)
– Le Conseil municipal des enfants
– Les opérations Collégiens et Lycéens au cinéma, les films de l’option cinéma du lycée Edouard Vaillant projetés avant présentation aux examens,…
– le partenariat avec l’Agence régionale du Centre pour le livre, l’image et la culture numérique (Ciclic).

De notre point de vue, l’ordre des priorités serait plutôt le suivant :
1) la présence dans la salle ;
2) la participation au débat ;
3) fournir un contact pour la circulation de l’info (mail) ;
4) prendre une adhésion de soutien ;
5) éventuellement apporter sa contribution par mail après le débat ;
6) être présent et apporter une petite aide ponctuelle à l’occasion (essentiellement passer à notre stand lors de la fête annuelle des associations).

Bien entendu, si on peut satisfaire à plusieurs de ces critères, voire à tous à la fois, on est dans une situation idéale. L’ensemble constitue un soutien de fait qui permet de durer et qui encourage à s’investir. L’association n’a en effet de raison d’être que si elle correspond à un besoin. D’un point de vue extérieur, et c’est bien légitime, sa crédibilité se mesure largement au nombre de ses adhérents.

Assemblée générale

C’est l’occasion d’une rencontre privilégiée avec les adhérents, lesquels peuvent faire directement les remarques et suggestions qu’ils jugent utiles sur le devenir et l’évolution de l’association. C’est l’occasion de constituer le nouveau bureau. Généralement, une projection privée est offerte aux adhérents à la suite de la réunion.

La parole à nos membres

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